Cessons de créer les résultats que nous ne souhaitons pas

Le 2 octobre prochain, se célèbre la journée internationale de la Non-Violence. Cette journée me tient particulièrement à coeur puisque, comme vous le savez, le point pivot de notre cabinet est de travailler à la transition d’un conflit confrontait vers une discussion constructive.

Nous travaillons fort à aider notre société à comprendre qu'il existe une grande différence entre un acte violent (verbal ou physique) et un sentiment de colère, tristesse, déception et j'en passe.

Malheureusement, trop d’entre nous expriment encore leurs sentiments avec un degré de violence à la fois suffisamment faible pour ne pas constituer un acte criminel et suffisamment élevé pour générer une réponse qui augmentera le conflit. Malgré ma pratique dans ce domaine, il m’arrive également de glisser et de tomber dans ce piège. Cela s’appelle être humain et c’est la raison pour laquelle nous avons tous besoin, à l’occasion, d’une personne qui aura un angle de vue plus large que notre perspective de trou de serrure .

Ce sont souvent ces mêmes personnes qui agissent violemment qui souhaiteraient que les choses se passent plus pacifiquement.

Ces personnes finissent par créer des résultats qu'ils ne souhaitent pas.

Le plus important est de savoir reconnaître cette réalité et de prendre action.

Comment prendre conscience de ce qui nous empêche de transiter d’une obstination sur position vers un dialogue et une réflexion en vue de solutionner le problème?

Plus de 25 000 personnes ont répondus à cette question et leurs réponses ont été compilées dans l’image ci-haut.

Et vous? qu’est-ce qui vous empêche de réduire votre approche traditionnelle violente à l’approche d’un conflit? Que comptez-vous faire pour minimiser les risques de laisser ces pensées prendre le dessus sur votre véritable intention?